Co-gérante d’un concept-store avec son époux, Audrey Boibessot (Familles nombreuses) a fait part de ses préoccupations concernant cette entreprise à ses abonnés Instagram.
Découverte dans Familles nombreuses : la vie en XXL, Audrey Boibessot est la dynamique maman de huit enfants. En compagnie de son époux, Hervé, elle assure la gestion du concept store “Au nom du père”. Ce petit magasin situé à Mazères (Ariège) est composé d’une boutique, dans laquelle des accessoires et objets de décoration sont commercialisés et d’un salon de coiffure pour homme, tenu par la moitié d’Audrey Boibessot. La mère de famille a récemment déploré le peu de visites dans la boutique sur Instagram. Et il semble que son inquiétude augmente au fur et à mesure que les fêtes de fin d’année approchent.
Audrey Boibessot (Familles nombreuses) dévoile les actions mises en place pour booster son commerce
Dans une story publiée ce 29 octobre sur Instagram, Audrey Boibessot a dévoilé des informations au sujet de son commerce. Elle a tout d’abord confié : “Je pars travailler toute l’après-midi. Tout installer, tout achalander pour que tout soit beau. Qu’il y ait le maximum d’idées de cadeaux pour tous les âges et pour tous les budgets.” Enthousiaste à l’idée de développer son activité, elle a ajouté : “On se donne vraiment du mal, toute l’équipe, pour servir au mieux.” La mère de famille s’arrange pour concilier sa vie professionnelle et sa vie privée. Elle n’avait pas caché avoir fait face à une période de grosse fatigue début octobre dernier. “C’est toujours les vacances, donc les enfants se régalent avec Hervé, qui travaillait ce matin”, a-t-elle précisé avant de souhaiter une excellente journée à ses abonnés.
Les Boibessot déterminés à faire fonctionner leur entreprise
Le 3 octobre dernier, Audrey Boibessot avait fait le point sur le commerce qu’elle tient avec son époux. Elle avait affirmé sur Instagram : “Je reçois ce message tous les jours… Nous expédions sur demande avec plaisir. Dommage que dans notre petit village beaucoup n’aient jamais ne serait-ce que passé le seuil de la porte pour voir tout l’amour qu’on met dans notre travail… On ne désespère pas et on continue d’y croire à fond.”