Ce jeudi 3 octobre, Audrey Boibessot répond à la remarque d’un internaute depuis sa boutique, un concept-store qu’elle gère avec son mari Hervé. La mère de famille fait part de ses craintes concernant son avenir.
Qui dit automne dit saison du rangement, en particulier chez les parents de tribus hors du commun. Dernièrement, Audrey Boibessot, révélée dans Familles nombreuses : la vie en XXL, a avoué que le tri dans la maison avait pris du retard. “Je suis très loin d’avoir fini !”, s’était-elle inquiétée, en décrivant les nombreuses tâches qu’elle devait encore accomplir : achat de nouvelles chaussettes, organisation des bacs de rangement et gestion des vêtements d’hiver. En revanche, Audrey s’est attaquée au rangement de plusieurs pièces de la maison, notamment celle de ses plus jeunes enfants. Cependant, elle confie ne pas réussir à adopter des pratiques plus écologiques, notamment concernant l’usage des couches et des lingettes lavables. “J’ai essayé plusieurs fois, mais ça ne fonctionne pas pour moi !”, avait-elle admis.
Une maman influenceuse et entrepreneuse éreintée
Ces derniers jours, Audrey Boibessot traverse une grande période de fatigue. Entre la rentrée scolaire de ses sept enfants et les soins apportés à son bébé, elle a de quoi être épuisée. Pourtant, la maman ne se repose pas et continue à mener de front sa vie familiale et professionnelle. En plus de gérer sa grande famille, elle s’occupe de son concept store, “Au nom du père”, qu’elle a lancé avec son mari Hervé. Ce magasin de Mazères, en Ariège, combine un salon de coiffure pour hommes, géré par Hervé, et une boutique de décoration et d’accessoires. Maman influenceuse, Audrey sait parfaitement mettre en valeur son magasin et partager de jolis clichés sur Instagram.
Audrey Boibessot regrette le manque de clients dans sa boutique
En découvrant les derniers clichés publiés par la mère de famille, une internaute s’émerveille. “Oh pétard ! C’est fou d’avoir autant de références dans une boutique ! C’est vraiment un petit bijou ! Dommage que je sois si loin”, indique-t-elle via la messagerie privée. “Je reçois ce message tous les jours… Nous expédions sur demande avec plaisir. Dommage que dans notre petit village beaucoup n’aient jamais ne serait-ce que passé le seuil de la porte pour voir tout l’amour qu’on met dans notre travail… On ne désespère pas et on continue d’y croire à fond”, assure Audrey Boibessot.