Dans la saison 19 de L’amour est dans le pré, les agriculteurs commencent à inviter leurs prétendantes à la ferme. Chez Ludovic, les filles en ont marre de le partager.
Lundi 23 septembre 2024, M6 diffusait un nouvel épisode de la saison 19 de L’amour est dans le pré. Les téléspectateurs ont pu découvrir les premiers speed dating de Manuela par exemple, mais ont surtout pu suivre la suite des aventures à la ferme des prétendants déjà arrivés chez leur agriculteur préféré, comme chez Ludovic. Chez ce dernier, l’ambiance n’est pas vraiment au beau fixe, les filles ayant marre de se le partager.
Dur de se projeter
Dans l’épisode, Ludovic leur fait visiter sa future maison… leur future maison ? Difficile de se projeter alors que l’agriculteur ne passe aucun moment seul à seul avec ses prétendantes. Elles le suivent partout, à deux, à leur plus grand regret. Si les deux filles s’entendent très bien, elles ne perdent pas de vue la raison de leur venue chez Ludovic. “Quand on fait la visite, on a l’impression qu’on va emménager à trois”, raconte Mélanie, “Il ne veut pas en mettre une de côté, je le comprends, mais j’ai l’impression qu’il n’a pas encore le déclic de ‘va falloir que je me positionne’”, a-t-elle expliqué. “Les 50/50 au début c’était drôle, on aimerait bien qu’il y ait une bascule”, ajoute Manon.
“Toi, on ne te partagera pas”
Si Ludovic ne veut en laisser aucune de côté, ce 50/50 commence à peser sur les filles. “Alors on veut bien partager l’escabeau, mais toi on ne te partagera pas”, avertir Mélanie. “On se projette et on se sent bien mais on sait pertinemment qu’il n’y aura qu’une seule”, a-t-elle ajouté. “Le jeu de la séduction, ça viendra très vite, je ne suis pas inquiet”, a annoncé Ludovic face caméra. “Belle chambre pour les enfants”, n’hésite pas à dire Mélanie lors de la visite. Maintenant que les filles ont vu, et ont peint, leur potentielle future maison, il faut que l’agriculteur mette les bouchées doubles pour amorcer le jeu de séduction. Une étape très attendue par ses prétendantes, qui trépignent d’impatience. Pour combien de temps vont-elles devoir encore supporter le 50/50 imposé par Ludovic ?