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L’amour est dans le pré : les coulisses de la gestion des imprévus dévoilés

L’amour est dans le pré comme vous ne l’avez jamais vue ! A l’occasion d’une interview pour Télé Star, la productrice a révélé les coulisses du programme phare de M6.

Depuis le 25 août 2025, les téléspectateurs peuvent suivre la saison 20 de L’amour est dans le pré, sur M6 et M6+ Max. Gilles, Océane, Jean-Louis C ou encore Géraldine partagent leurs aventures devant les caméras de la sixième chaîne. Mais que se passe-t-il pendant ce temps en coulisses ? La productrice Gabriella Mather a répondu à cette question lors de son entretien pour Télé Star (édition du 6 octobre 2025).

Quand les imprévus s’invitent dans L’amour est dans le pré

Les fans de L’amour est dans le pré connaissent bien le processus. A l’issue de l’ouverture du courrier, les agriculteurs(trices) choisissent les prétendant(e)s qu’ils souhaitent rencontrer lors des speed-datings qui se déroulent à Paris. Et deux ont ensuite le bonheur de se rendre chez l’élu de leur coeur. Une sacrée organisation pour la production en coulisses. Comme l’a dévoilé Gabriella Mather, tout commence en amont afin que l’agriculteur “arrive au speed-dating l’esprit léger“. Ainsi, les dates de tournage sont déjà calées lors de cette étape, mais peuvent un peu évoluer en cas de besoin. “Notre fenêtre de tir s’étend sur quatre à six semaines et dépend des délais de montage : cette année, les 13 séjours devaient être tournés avant fin avril. C’est un vrai tétris“, est-il précisé.

Quels frais la production de L’amour est dans le pré prend en charge ?

Une fois les dates définies, la production fixe les dates avec les candidats. Puis, vient le premier jour de tournage auquel participent deux cadreurs et deux ingénieurs du son, à Paris. “C’est la fourmilière, nous sommes une huitaine dédiée à l’achat des billets de train, la récupération des rushs, la gestion des imprévus“, explique la productrice. Car oui, la prod’ prend en charge des frais comme le transport ou les chambres d’hôtel pour celles et ceux qui en auraient besoin. “Nous avons des budgets qui sont alloués (jusqu’à 300 euros par exemple pour un plein de courses, NDLR), mais il n’est pas rare qu’ils souhaitent prendre en charge les frais, considérant les prétendant(e)s comme leur invité(e)s”, a-t-elle poursuivi.

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