Ce lundi 20 janvier 2025, dans l’épisode inédit de L’amour est dans le pré consacré à la deuxième partie des portraits et déjà disponible sur M6+, Karine Le Marchand a rencontré d’autres agriculteurs. Parmi eux, Samuel, un viticulteur de 49 ans qui a parlé de sa relation compliquée avec son papa sur un point précis. Attention, spoilers.
Le 13 janvier dernier, M6 a donné le coup d’envoi de la 20ème saison de L’amour est dans le pré avec la première soirée consacrée aux portraits des nouveaux agriculteurs. Comme chaque année, Karine Le Marchand a sillonné les routes de France pour rencontrer ces célibataires à la recherche du grand amour. Ce lundi 20 janvier 2025, la chaîne diffuse la deuxième soirée au cours de laquelle de nouveaux agriculteurs vont se présenter à l’animatrice. Parmi eux, Samuel, 49 ans, viticulteur et producteur de Cognac. Dans l’épisode disponible en avant-première sur le site M6+, il en dit plus sur son métier de viticulteur. “C’est être à l’air libre, être dans la nature tous les jours”. Attention, la suite de cet article contient des spoilers.
L’amour est dans le pré 2025 : Samuel se confie sur sa famille, peu expressive sur ses sentiments
S’il a trois soeurs, il a été le seul à reprendre l’exploitation sur laquelle ses parents lui donnent un coup de main de temps en temps. “Ce qui est un peu paradoxale, c’est que mon papa, je voyais bien qu’il n’était pas très content parce qu’il allait plus pouvoir manipuler au niveau de la distillation, mais en même temps, quand on avait des amis qui venaient, il était fier”, explique-t-il à Karine Le Marchand avant de lui confier que son père ne lui a jamais dit qu’il était content de lui, de toute sa vie. “J’ai eu une enfance tout à fait heureuse, des parents aimants. Après, dans la famille, on n’a jamais exposé nos sentiments ouvertement”, précise-t-il.
Samuel (L’amour est dans le pré 2025) révèle ce qu’il n’a jamais reçu de la part de son papa et qu’il aurait aimé avoir
Et de poursuivre : “Je me suis jeté dans le travail pour chercher la reconnaissance de mes parents, surtout la reconnaissance de mon père, mais rien n’y a fait. Cette reconnaissance, je ne l’ai jamais eue et je ne l’attends plus. J’ai mis un mouchoir dessus”. C’est le sport qui lui a donné confiance en lui. “Je me débrouillais plutôt pas mal (…) et je donnais des cours de tennis, ça m’a permis de m’affirmer un peu plus et de prendre un peu plus confiance en moi et d’attirer un petit peu plus les regards”, dit-il.