Franck (Star Academy) a fait quelques révélations lors du débriefing de Marlène Schaff sur la manière dont il répétait avant son entrée au château de Dammarie-les-Lys.
Après trois mois d’aventure, les élèves de la Star Academy sont sur le point de quitter le château de Dammarie-les-Lys. Ils ne seront pas séparés très longtemps, puisqu’ils retrouveront leurs camarades qui ont quitté le jeu depuis des semaines lors de la grande tournée qui va les mener à travers la France. Ils seront huit choisis par le public à se produire sur scène. Après Marine, on saura ce samedi 18 janvier qui sera le deuxième finaliste de cette édition, de Franck ou d’Ebony. La fille de Thierry Cham a déjà pris une longueur d’avance sur son adversaire en gagnant un avantage pour le prime. Elle a choisi de déjà ramener Charles en direct pour chanter en sa compagnie.
Franck (Star Academy) révèle pourquoi il a dû chanter dans une gare
Lors du précédent prime, c’est Franck qui avait pris l’avantage sur Marine en ayant la possibilité de réaliser un tableau qu’il avait entièrement conçu. Le jeune homme a choisi de chanter Heal de Tom Odell. Sa prestation a impressionné ses professeurs. Lors du débriefing de Marlène Schaff, il s’est expliqué sur le choix de sa chanson. Il en a profité pour faire une confidence sur sa vie passée. “Moi je chantais pas mal à la gare Saint-Lazare parce que c’est le seul endroit où je pouvais chanter sans qu’on me dise ‘tu chantes trop fort’. Une fois, il y a un inconnu qui chantait cette chanson et je me suis dit ‘c’est quoi ça’. Sur le moment, il y a eu un coup de foudre, je suis allé la rechercher et j’ai lu le texte. Il m’a beaucoup parlé, je l’ai trouvé très beau. Pour moi, c’est un remède cette chanson”, a-t-il raconté. Comme lui a fait remarquer la professeur d’expression scénique, “heal” en anglais signifie guérir. “C’est un message que je m’adresse personnellement”, lui a répondu Franck.
Marlène (Star Academy) invite Franck à travailler sur un point précis
Marlène Schaff a loué la qualité de son tableau, avant de lui adresser malgré tout une petite critique sur son élocution. “Ceci étant dit, je sais que je te l’ai déjà dit, je sais que tu travailles dessus, mais il faut que tu articules plus. Si on ne va pas au bout du mot, si on ne va pas au bout du verbe, c’est comme si on n’était pas exactement précis dans l’idée qu’on est en train de donner”, lui a-t-elle signifié. Franck a acquiescé, soulignant qu’il articulait encore moins en anglais qu’en français.