Gilles cherche le grand amour, du haut de ses 69 ans, et pour cela… l’agriculteur à la retraite s’est inscrit à L’amour est dans le pré sur M6. À l’occasion du lancement du programme, “Gillou” s’est confié sur une séquence avec Isabelle, sa prétendante, qui risque de faire jaser.
Gilles est déjà la mascotte de cette 19e saison de L’amour est dans le pré ! L’agriculteur de 69 ans a tout misé sur l’émission de Karine Le Marchand pour retrouver le grand amour après avoir vécu un drame il y a maintenant deux ans. En effet, “Gillou”, papa de deux enfants issus d’une précédente union, est devenu veuf après un beau et long mariage qui aura duré quinze ans. Aujourd’hui, il est prêt à rouvrir les portes de l’amour mais aussi de sa maison, située dans les Pays-de-la-Loire. Car oui, Gilles est aujourd’hui à la retraite, alors pas question d’exiger les bottes à ses prétendantes ! Isabelle, qui fut la première à fouler le pas de sa porte, a découvert un Gilles très tactile et affectueux… peut-être un peu trop !
Gilles trop tactile dans L’amour est dans le pré : “Il faut que je suive une formation”
Depuis quatre ans maintenant, Gilles est à la retraite. Mais pas question de ne rien faire ! Il passe donc son temps entre le soin d’une portion réduite de son troupeau et “une myriade d’autres activités le reste du temps” entre la danse, la musique et les jeux de cartes entre amis. Espiègle et doté d’un sacré bagout, Gilles a rapidement tapé dans l’œil d’Isabelle, sélectionnée pour l’étape suivante, dès le speed-dating. Problème : à son arrivée à la maison de Gilles, Isabelle trouve son “futur prince charmant” un peu trop à l’aise… “Il me touche beaucoup. Il me dit qu’il est très tactile mais doucement, on va laisser les choses se faire tranquillement. Il ne faut pas que ça redescende aussi vite que c’est monté”.
La production de L’amour est dans le pré veille au grain : “Si c’est trop invasif, on intervient”
Interrogé à ce sujet lors de la conférence de presse de l’émission, Gilles nous confie : “C’est vrai que j’ai un problème avec ça. Il faut que je suive une formation pour m’enlever ça. J’étais tellement content de la retrouver que je la touche beaucoup !” Mais heureusement, Gilles a rapidement retrouvé ses esprits et a préféré découvrir Isabelle en écoutant son parcours de vive voix. La production, elle aussi, veille au grain du bon comportement de ses agriculteurs : “Si c’était à ce point-là invasif, évidemment que les équipes sur place interviendraient, oui, bien sûr. La question ne se pose pas.”