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“En France, tous les droits ne sont pas acquis” : à bout, Rofrane Bambara (Familles nombreuses) déplore le traitement de ses enfants en situation de handicap

Dans une story publiée ce vendredi 6 décembre, Rofrane Bambara, révélée au grand public dans Familles nombreuses : la vie en XXL, a déploré le traitement accordé à ses enfants en situation de handicap.

Cela fait plus de trois ans maintenant que la tribu Bambara partage son quotidien avec des milliers de personnes. D’abord populaire grâce à leurs passages réguliers dans Familles nombreuses : la vie en XXL, Rofrane et Nasser ont parallèlement fédéré toute une communauté sur les réseaux sociaux. Ils sont près de 400 000 à suivre la maman de 31 ans sur Instagram et 44 000 abonnés au compte du papa de quadruplés. Ces derniers sont d’ailleurs au cœur des préoccupations du couple de trentenaires très sensible à la cause de l’autisme.

Rofrane Bambara (Familles nombreuses) au front pour le bien-être de ses quadruplés

Rofrane et Nasser Bambara ont décidé d’évoquer avec une grande transparence le trouble du spectre autistique qui touche leurs quatre enfants. Diagnostiqué en premier, Kheïry-Dine avait touché les téléspectateurs de TF1… Les mois qui ont suivi cette annonce difficile à encaisser pour les parents, un bilan a également été rendu pour leurs trois autres enfants. Ces influenceurs se sont depuis livrés à plusieurs petites batailles pour l’inclusion scolaire de Kheïry-Dine, Chemsy-Dine, Hajar et Noor. Confrontée à des situations parfois injustes, la maman avait pris la parole pour dénoncer le traitement réservé à ses bambins. Si ces écarts de conduite ne s’étaient pas reproduits depuis un petit moment, il semblerait que l’ex-participante du docu-réalité se soit retrouvé face à un nouvel affront.

Rofrane Bambara (Familles nombreuses), confrontée à de nouveaux soucis pour l’inclusion de ses enfants

Dans sa story du vendredi 6 décembre, Rofrane Bambara a laissé éclater toute sa frustration : “J’ai passé une rude journée. Ça faisait un petit moment que nous n’avions pas dû retourner au combat pour faire valoir les droits de nos loulous extra. J’avais presque oublié la charge mentale, émotionnelle et administrative que c’était. Bref, nous sommes en 2024, en France et quand on a un handicap, tous les droits ne sont pas acquis. Pourtant, grâce à mes enfants et leurs sourires, elle avait bien commencé…”. Un message qui en dit long sur l’état d’esprit de la jeune femme quelque peu dépassée. Le lendemain, elle dédiait justement son samedi aux quadruplés à la découverte d’activités sensorielles adaptées au handicap de ses merveilles.

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