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“J’avais peur” : Pourquoi Valentin (L’amour est dans le pré 2024) avait une appréhension à annoncer le cancer de Flavie

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INTERVIEW. Valentin est l’un des agriculteurs phares de cette 19e saison de L’amour est dans le pré. Le benjamin de cette édition revient pour Télé-Loisirs sur son aventure et notamment le cancer de sa prétendante Flavie, qu’il a hésité à annoncer.

Avant même le lancement de la 19e saison de L’amour est dans le pré, Valentin avait touché les téléspectateurs lors de son portrait diffusé en janvier 2024. Il racontait notamment le décès brutal de son papa et son envie de trouver l’amour grâce à l’émission. Depuis, la diffusion des speed-dating le 19 août dernier, la vie sentimentale de Valentin a pris un grand tournant grâce à sa rencontre avec Flavie, une pétillante Bretonne de 21 ans. Mais alors que leur histoire venait de naître devant les caméras, la prétendante a appris qu’elle était atteinte d’un cancer. Malgré la maladie, qu’elle a révélée tout de suite à Valentin, Flavie a tenu à poursuivre le tournage de L’amour est dans le pré. Le jeune couple a été reçu dans le bureau de Karine Le Marchand en juillet à Paris, afin d’annoncer la nouvelle. Cette séquence a été diffusée lundi 11 novembre. Sans dévoiler s’il est encore avec la jeune femme aujourd’hui (il faudra attendre le bilan le 25 novembre sur M6), Valentin a accepté de répondre à nos questions sur son aventure perturbée par le cancer de Flavie. Interview.

Valentin (L’amour est dans le pré 2024) : “L’émission m’a permis de m’ouvrir sur moi”

Télé-Loisirs : Que retenez-vous de cette aventure ?
Valentin 
: Ça n’a pas toujours été simple mais je retiens que du positif, malgré les problèmes qu’on a pu traverser.

Est-ce que l’aventure vous a aidé à vous livrer davantage et à montrer vos émotions ?
L’émission m’a permis de m’ouvrir sur moi, de parler de moi aux autres parce qu’avant je ne le faisais pas. Ce n’était pas une appréhension mais comme je ne savais pas le faire, je me suis demandé comment on allait se débrouiller…

Comment avez-vous vécu le moment où Flavie vous a amené dans votre maison familiale ? Ça avait l’air difficile par rapport à votre papa…
Je venais de quitter la maison depuis trois semaines, j’avais emménagé dans l’autre et je n’étais pas revenu spécialement. Elle a forcé le passage, moi je voulais présenter la maison à celle qui reste, ce qui était logique. Mais du coup, Flavie a forcé le destin et je n’étais pas spécialement prêt.

Étiez-vous en accord avec la décision de Flavie de poursuivre l’émission malgré sa maladie ?
J’étais totalement en accord de continuer le tournage, par contre au début, j’étais un peu réticent à l’annoncer. Elle a voulu le faire, donc on l’a fait. Après la production a été très sympa, si à J-2 du tournage ça n’allait pas, on coupait net et on repoussait. Ce n’était pas “Si on continue, il faut qu’on tourne d’office”.

“J’avais peur de récupérer la charité des autres” : ce qui a freiné Valentin (L’amour est dans le pré 2024) avant l’annonce du cancer de Flavie dans l’émission

Karine Le Marchand vous a-t-elle suivi davantage après l’annonce du cancer de Flavie ?
Elle prenait des nouvelles oui, la production nous appelait toutes les semaines ou tous les quinze jours pour prendre des nouvelles. La directrice de la production transférait les nouvelles à Karine. En cours d’été, on a rencontré Karine pour parler de ça, parce que s’il n’y avait pas de bilan pour nous, que Flavie avait été trop affaiblie ou autre et qu’on ne pouvait pas aller au bilan, ou que j’y aille tout seul, on avait fait une rencontre avant à son studio au mois de juillet.

C’est un moment que vous appréhendiez ? Vous qui aviez peur d’annoncer la maladie ?
Je n’étais pas spécialement chaud au début, tout simplement parce qu’on a des fans, on va dire ça comme ça, des téléspectateurs et recevoir des messages de soutien de gens qui sont à 800 ou 1000 km, qu’on ne connaît pas et qu’on verra jamais, c’est chaleureux mais c’est tout… Ça ne fera pas avancer le problème. J’avais peur de récupérer la charité des autres, c’est bien qu’ils soient là mais recevoir 50 messages par jour, bon… La chance qu’on a, c’est que le traitement est fini et qu’ils vont l’apprendre là (NDLR lundi 11 novembre, l’interview a été réalisée quelques jours avant), mais si on récupère toute la charité du pays, on n’est pas rentrés ! C’est de ça dont j’avais peur.

Valentin (L’amour est dans le pré 2024) : “Je suis très attaché à Pascal, c’est le papa ours”

Est-ce que vous regardez les avis sur les réseaux sociaux ?
Non, je ne regarde pas et je ne veux pas, parce que quoi qu’on fasse ce sera critiqué. C’est de la méchanceté gratuite. Tu es derrière ton écran, c’est facile d’attaquer mais derrière, quelqu’un qui est fragile, ça peut le déstabiliser. Je pense que je le surmonterais mais, par précaution, je préfère ne pas regarder, puis ça ne m’intéresse pas. Il y a des gens qui regardent pour moi, j’ai des guetteurs (rires). Le but, c’est de garder un point positif de l’émission, il ne faut pas chercher le négatif, parce que comme toute chose, tu te souviendras toujours du mauvais mais jamais du bon. Sur 100 commentaires, tu en auras 90% de bons, 10% de mauvais, mais on se souviendra toujours des mauvais.

Est-ce que vous avez noué des liens avec des agriculteurs cette année ?
Je les aime tous, mais je suis très attaché à Pascal, c’est le papa ours. Il ne fait pas de bruit, il est gentil comme tout. Si j’ai à l’aider, je l’aiderai sans problème. À la fin du mois dernier, on est allé à Bergerac chez Christophe pour un repas, du coup j’ai pris Pascal en passant. J’ai insisté parce que je voulais l’emmener. J’ai amené Manuela aussi, il y avait une bonne ambiance. À la fin du mois, je ramène Pascal, on va à l’ADP tour en Corrèze.

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