Lors d’une interview accordée à Télé-Loisirs, Manuela a accepté de revenir sur le début de son aventure dans L’amour est dans le pré et sur ses ressentis lors de l’ouverture du courrier et des speed-datings.
Elle aurait aimé avoir la chair de poule en découvrant les lettres de ses prétendants, mais rien ne s’est passé comme prévu pour Manuela. L’éleveuse de poules d’ornement de la saison 19 de L’amour est dans le pré ne s’était pas inscrite elle-même à l’émission. C’est son amie Laure qui l’a fait pour elle, dans l’espoir que cette ancienne notaire, installée en Centre Val de Loire, trouve enfin un homme qui lui corresponde. Lors de la diffusion de son portrait, elle confiait vouloir rencontrer “quelqu’un de gentil, souriant, aimant, bienveillant et capable de mettre des bottes pour aider”.
Un portrait qui a attisé la curiosité de plusieurs hommes, dont un plutôt entreprenant. “Il y a quand même eu un homme qui a débarqué à la ferme (rires), qui m’a tout de suite tutoyée, qui a demandé à rentrer dans la maison et que j’ai dû remettre à sa place en le renvoyant chez lui”, a-t-elle confié à nos confrères de TéléLoisirs. C’est donc au speed-dating que la quinquagénaire, qui avait tapé dans l’oeil d’un ancien candidat, a rencontré les quatre hommes qu’elle avait sélectionnés, avant de choisir d’inviter Pierre et Didier sur son exploitation.
Manuela s’attendait à autre chose en participant à L’amour est dans le pré
Comme l’a confié Manuela à nos confrères, Manuela s’attendait à recevoir moins de courriers que ses collègues masculins. “C’est plus compliqué pour les hommes d’écrire et la production nous avait prévenues que nous, les femmes candidates de l’émission, nous recevions moins de courrier. Par ailleurs, cela ne doit pas être évident pour eux car ils n’ont pas envie de prendre un gros râteau à la télé [Karell, dont le prétendant a préféré partir en sachant qu’il n’avait pas eu sa préférence au départ en sait quelque chose, ndlr]”, a-t-elle assuré.
Pour autant, le peu de lettres reçues a tout de même “déçu” l’agricultrice. “Je n’attendais rien de particulier. Malgré tout, le petit nombre reçu m’a fait réfléchir, a-t-elle confié. Je n’avais aucune attente… et finalement je me suis rendu compte qu’on en a forcément un peu et ça m’a un peu piquée, je le reconnais. J’étais un peu déçue. Et ça m’a même piqué de le reconnaître !” Mais comme le dit si bien le dicton, ce n’est pas la quantité qui compte, mais la qualité des rencontres qui pourraient en découler. En espérant pour elle que Manuela ne laissera pas de plumes à la fin de l’émission.