INTERVIEW. Et si Gilles n’avait finalement pas participé à L’amour est dans le pré 2025 ? Interrogé par TV Actu, l’agriculteur de la saison 20 a révélé le détail qui l’a poussé à tenter sa chance.
Le 25 août 2025, M6 a donné le coup d’envoi de L’amour est dans le pré 2025. L’occasion de faire la connaissance des nouveaux agriculteurs de la saison 20, parmi lesquels Gilles, un céréalier de 58 ans. Pourtant, il aurait bien pu ne jamais participer à l’émission présentée par Karine Le Marchand comme il l’a confié à TV Actu.
TV Actu : Pour quelle raison avez-vous souhaité vous tourner vers L’amour est dans le pré pour trouver l’amour ?
Gilles : Pour ne pas finir ma vie seul quand même. Comme j’avais fait un peu des sites de rencontres, que ça n’aboutissait pas et que je ne rencontrais pas forcément des bonnes personnes, je me suis dit : ‘Pourquoi pas faire cette expérience.’
Dans quel état d’esprit étiez-vous avant de débuter le tournage ?
J’étais tout excité comme un enfant devant un sapin de Noël. J’étais trop content, et mes filles aussi. On avait hâte que ça commence.
Vos filles vous ont-elles incité à participer ?
Elles ne m’ont pas incité, mais c’est ma fille aînée qui m’avait demandé d’aller au Salon de l’Agriculture. C’est là que j’ai rencontré un ancien de L’amour est dans le pré [Laurent de la saison 14, NDLR]. On a sympathisé, et c’est parti de là. Mais si ma fille ne m’avait pas invité au Salon de l’Agriculture, je pense que je n’aurais pas fait l’émission.
Aviez-vous des appréhensions ?
Les speed-datings, car il fallait choisir deux prétendantes. Ça c’était une appréhension, parce que je n’aime pas faire du mal aux gens. Donc dire non aux autres, c’est toujours difficile. Autrement avant non, je n’ai pas eu d’appréhensions spéciales Quand j’ai fait le portrait avec Karine Le Marchand, je me suis mis à l’aise direct et elle nous met à l’aise aussi. J’ai fait la part des choses. C’est vrai que quand on rentre dans une pièce où il y a plein de lumières, plein de caméras, plein de gens, c’est impressionnant, mais je me suis concentré sur Karine et le tournage s’est déroulé normalement pour moi.
Qu’est-ce qui a été le plus difficile pour vous lors du tournage ?
Le plus dur, c’était prendre ma décision. À chaque fois, ça a été la même chose. C’est pour ça que j’ai proposé d’inviter à danser celles que je choisissais. Comme ça, je ne voyais pas le regard des autres.