Ce lundi 30 juin, c’est avec beaucoup d’émotion que Rofrane Bambara a pris la parole sur Instagram. En effet, la candidate de Familles nombreuses : la vie en XXL a eu des nouvelles concernant la scolarité de sa fille Hajar et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas ce à quoi elle s’attendait.
L’année a été plutôt éprouvante pour Rofrane Bambara. En plus de leur déménagement, la famille a dû prendre de nouvelles marques. Mais avec ce rythme à cent à l’heure, notamment avec le tournage de Familles nombreuses : la vie en XXL, la jeune maman a frôlé le burn-out. Alors que ses quadruplés ne cessent de progresser, leurs besoins ne sont pas les mêmes. C’est notamment pour cette raison que la femme de Nasser a dû changer d’école à sa fille Hajar en début de mois afin de la rediriger vers une UEEA.
Rofrane Bambara (Familles nombreuses) s’interroge sur l’avenir de ses enfants
Hajar et Chemsy devraient changer d’école à la prochaine rentrée scolaire. Avant la trêve estivale, la famille a assisté à la fête de l’école. Malgré ce bon moment, l’influenceuse ne peut s’empêcher de se poser des questions, en particulier pour deux de ses enfants concernant leur scolarité. “C’est le flou total pour Hajar et Chemsy. Hajar a changé d’école le 2 juin mais honnêtement avec le recul je me demande si on a bien fait d’accepter ce changement précipité. On verra cette semaine, on est censé en savoir plus sur l’affectation des enfants pour septembre”, a-t-elle confié le week-end dernier.
Rofrane Bambara (Familles nombreuses) dégoûtée pour Hajar
Ce lundi 30 juin, la semaine a plutôt mal commencé pour Rofrane Bambara. Et pour cause, le verdict est tombé pour sa fille. “J’attendais des nouvelles de la MDPH qui ne sont pas tout à fait celles qu’on espérait pour Hajar. Mercredi on a un rdv qui sera ‘décisif’ et qui nous laissera savoir si le combat continue ou pas”, a-t-elle commencé. Une situation compliquée pour la mère de famille qui n’a pas caché son désarroi. “Fatiguée, épuisée, si seulement les gens pouvaient se mettre trois minutes dans notre peau et imaginer notre quotidien. Pas juste se dire ‘ok ils ont quatre enfants autistes’ mais vraiment s’imaginer se lever le matin et devoir se battre pour quatre enfants autistes, le quotidien, les crises, les soins, les rendez-vous, la scolarité et l’administratif, bref tout se passe mais là ça fait beaucoup”, a-t-elle ajouté. Espérons qu’une autre solution s’offre à eux prochainement.